Voltalia 20 Ans – Robert Dardanne

À l'occasion du prochain 20ème anniversaire de Voltalia, nous sommes heureux de lancer une série de témoignages vidéo qui mettent en lumière les souvenirs, les valeurs et les aspirations de ceux qui ont façonné et continuent de façonner Voltalia. Chaque mois, nous présenterons une nouvelle vidéo où ils partageront leurs souvenirs er leur vision pour l’entreprise. Nous commençons cette série avec Robert Dardanne, fondateur de Voltalia et administrateur de Voltalia Investment. Découvrez ces moments les plus mémorables et ses souhaits pour les Voltaliens.

Robert Dardanne - Fondateur de Voltalia et Administrateur de Voltalia Investment

Quel souvenir vous a le plus marqué à Voltalia ?

Ce qui a été marquant et qui fait partie de l’historique et des gènes de Voltalia, c'est la présence dans un territoire français qu'est la Guyane française et dans le nord du Brésil, dans l'Amazonie. Donc pour moi, les faits marquants, c’est le fait d'avoir osé de faire des projets dans des zones isolées au milieu de l'Amazonie.

Quelle valeur Voltalia résonne le plus en vous ?

L'entrepreneuriat, c'est la marque de l'entreprise partie d’une feuille blanche, de zéro, en 2005 et qui a démontré qu'on pouvait, même dans des zones difficiles comme l'Amazonie, développer des projets. Et je pense que chaque Voltalien est amené à être un entrepreneur parce que nous sommes la fédération de plusieurs centaines de projets qui ont été construits et qui vont être construits. Et chacun est certainement amené à avoir une attitude d'entrepreneur parce que c'est un chef de projet, parce que c’est un responsable de construction, parce que ça va être quelqu'un qui va ouvrir un nouveau pays. Donc l'esprit entrepreneurial existe vraiment et je pense que ça peut être une force à conserver, malgré les 10 000 salariés dont le nombre augmentera évidemment dans les années à venir.

Robert Klein, Robert Dardanne et Sébastien Clerc

L'entrepreneuriat, c'est la marque de l'entreprise partie d’une feuille blanche, de zéro, en 2005 et qui a démontré qu'on pouvait, même dans des zones difficiles comme l'Amazonie, développer des projets.

Portrait chinois : Si Voltalia était un livre, une œuvre, célébrité… ?

C'est l'Amazonie. Je n'ai pas commencé l'activité dans cette zone par hasard. C'est une zone qui m'intéressait et dans laquelle il y a encore des peuples indigènes. J'ai eu la chance de rencontrer sur ces routes un chef connu des Indiens du Brésil qui s'appelle Raoni, et c'est le symbole entre des villages perdus au milieu de la forêt. Et puis Voltalia est aussi présent dans des pays développés, des grandes capitales et autres. On a vraiment cette image de pouvoir apporter les plus, les bonifications de nos activités dans des lieux retirés comme des lieux développés.

Que souhaitez-vous aux Voltaliens ?

Je souhaite que chaque Voltalien soit un entrepreneur parce que nous sommes sur un marché porteur. L'entreprise y a sa place avec la nécessité d'adaptations fréquentes à de nouvelles technologies, à des évolutions et puis à l'adhésion dans un plus grand nombre de pays. Et à chaque fois, c'est l'adaptation qui est nécessaire. Donc à mon sens, il faut garder ces qualités qui peuvent nous démarquer.